Dernière mise à jour à 09h14 le 08/05
Le géant des télécoms chinois, Huawei Technologies, a organisé récemment un salon de l'emploi visant à mettre en relation des étudiants kényans des technologies de l'information et de la communication (TIC) avec des partenaires industriels et à les aider à trouver des emplois et des stages.
Dans un communiqué publié à Nairobi mardi, Huawei a dit que pendant le salon, 15 jeunes kényans ayant suivi son programme phare sur les certifications HCIA-R&S ont trouvé des emplois et des stages dans de grandes entreprises du secteur des TIC.
Le responsable du département entreprises et prestations de services du groupe Huawei au Kenya, Bob Kang, a dit que la solidité des liens entre le secteur et l'enseignement supérieur était à la base de l'employabilité des jeunes formés dans le domaine des TIC et des secteurs connexes.
"Les universités et les établissements d'enseignement supérieur doivent renforcer leur coopération avec les partenaires industriels afin de développer les compétences dans le domaine des TIC", a dit M. Kang.
"Nous espérons que grace à l'organisation de ce salon de l'emploi, des jeunes dotés de capacités exceptionnelles dialogueront avec nos partenaires et clients privilégiés et exploreront de meilleures opportunités d'emploi", a-t-il ajouté.
Huawei a d'ores et déjà établi des partenariats avec 23 universités et établissements de l'enseignement supérieur kényans afin de promouvoir auprès des jeunes le développement des compétences dans le domaine des TIC et de leur permettre de devenir des entrepreneurs dans les secteurs numériques.
L'Académie Huawei des TIC hébergée par ces universités et établissements d'enseignement supérieur a stimulé les connaissances des jeunes kényans dans les nouvelles technologies telles que l'intelligence artificielle, les grands volumes de données, l'informatique dématérialisée et l'internet des objets.
M. Kang a dit que Huawei va soutenir la formation et le transfert des connaissances afin de combler les lacunes en matière de compétences qui ont mis un frein à la volonté du Kenya de devenir un p?le de l'économie numérique.