Dernière mise à jour à 16h03 le 22/09
1/8Wang Jian, président du groupe BGI, l’une des plus grandes entités de recherche en génétique au monde.
2/8Zheng Dongmin, un expert de la Banque nationale de la génétique, plonge des échantillons de cellules humaines dans de l'azote liquide à moins de 196 degrés Celsius pour mieux les sauvegarder, le 10 ao?t 2016.
3/8Le personnel analyse le séquen?age des gènes, le 6 septembre 2016.
4/8Une scientifique ouvre la porte du stockage de la glacière de la Banque nationale de gènes, le 20 septembre 2016.
5/8Les chercheurs récupèrent des échantillons de sang dans le congélateur à température ultra-basse de la Banque nationale de gènes, le 20 septembre 2016.
6/8Les 150 machines de séquenceur de gènes.
7/8Mei Yonghong, directeur de la Banque chinoise de gènes.
8/8Wang Jian, président du groupe BGI, l’une des plus grandes entités de recherche en génétique au monde.
Mardi 20 septembre, présence d'un scientifique de la Banque nationale de gènes dans la salle d'exposition.
Dans la mythologie occidentale, Noé a construit une arche avec toutes sortes d'animaux pour échapper à la grande inondation. Une graine, une goutte de sang et de salive, un morceau d'ADN, une séquence de donnée... De simples ? éléments ? qui serviraient à batir dans le futur le socle de l'industrie de la biotechnologie.
Aujourd'hui, les Etats-Unis, l'Union européenne et le Japon possèdent tous une banque génétique de niveau mondial, contribuant à mieux dominer les ressources stratégiques de l'économie biologique.
Le 22 septembre 2016, la Banque chinoise de gènes a été inaugurée à Shenzhen (sud de la Chine). Le pays possède désormais sa propre ? arche de Noé ?, avec des échantillons génétiques et biologiques d'êtres humains et autres êtres vivants.