Dernière mise à jour à 10h33 le 29/04
Récemment, le le journal australien ? Daily Telegraph ? en Nouvelle-Galles du Sud a déformé la forme de l'emblème national chinois et lié de manière malveillante le nouveau coronavirus à la Chine. L'emblème national est un symbole d'un état souverain et est sacré et inviolable. En agissant comme il l'a fait, le journal australien a politisé l'épidémie et étiqueté le virus, ignoré la justice fondamentale, brisé les barrières de la morale la plus élémentaire et gravement blessé les sentiments du peuple chinois. Ce genre de comportement négatif ne saurait être toléré.
L'épidémie de nouvelle pneumonie à nouveau coronavirus peut être qualifiée de mise à l'épreuve de l'éthique mondiale, et elle peut aussi constituer un test pour la qualité de la civilisation. Les médias sont l'enregistreur de l'histoire. Ils doivent cultiver consciemment l'intégrité morale, défendre et soutenir avec conscience les valeurs fondamentales de la civilisation humaine et protéger les réalisations de la civilisation humaine. Le drapeau national et l'emblème national sont des symboles importants de la civilisation moderne. Ils expriment les sentiments profonds des peuples de tous les pays et représentent la noble dignité de tous les pays. Le journal australien a manifestement stigmatisé la Chine à travers l'épidémie et incité au racisme, un acte contraire à la civilisation moderne.
Le tra?age du virus est une question scientifique rigoureuse et une question professionnelle sérieuse. Depuis le déclenchement de l'épidémie de pneumonie à nouveau coronavirus, l'Organisation mondiale de la santé a souligné à plusieurs reprises que ? Concernant l'origine de toute maladie, cela peut arriver dans n'importe quel endroit ?. 16 spécialiste du droit international de la santé ont récemment publié une note dans la revue médicale britannique ? The Lancet ?. Les rumeurs, le racisme et la xénophobie n'ont jamais permis à quelque population que ce soit d'échapper à des situations d'urgence telles que l'épidémie de pneumonie à nouveau coronavirus. Le journal australien n'a pas tenu compte des avertissements explicites de l'OMS et des juristes internationaux de la santé et a violé de manière flagrante les dispositions expresses des règlement sanitaire internationaux, ce qui ne peut que susciter un sentiment de malaise.
Les reportages des médias doivent être basés sur des faits et doit avoir comme base la conscience. Dans le monde, il est évident pour tous que la Chine a contribué activement à la défense du droit des hommes à la vie et à la santé. Suivant les principes de la vie d'abord et des personnes d'abord, la situation en matière de prévention et de contr?le de l'épidémie en Chine a été consolidée de manière progressive et continue. Adhérant au concept d'une communauté de destin humain et promouvant l'esprit humanitaire international, la Chine participe et encourage activement la coopération internationale dans la lutte contre l'épidémie. Ni les résultats obtenus sur le champ de bataille national du combat contre la maladie ni le r?le joué dans le processus de coopération mondiale ne sauraient être effacés. Ne s'intéressant nullement à refléter ces réalités objectives, le journal australien, avec ses préjugés idéologiques inhérents, joue un vilain tour qui inverse le noir et blanc, révélant un fonds où transpara?t son manque de professionnalisme.
La nouvelle guerre mondiale de prévention et de contr?le de l'épidémie de pneumonie à nouveau coronavirus est une course contre le temps pour sauver des vies. Tous les médias consciencieux et responsables devraient jouer un r?le constructif dans la promotion de la coopération mondiale dans la lutte commune contre l'épidémie. Le ? Daily Telegraph ? n'a pas tenu compte des protestations et de la condamnation du consulat général de Chine à Sydney et a utilisé à plusieurs reprises l'épidémie pour calomnier la Chine avec un esprit malveillant. Dès le 1er avril, le consulat général de Chine à Sydney a envoyé une lettre au journal, réfutant ses articles arrogants et ses préjugés sur l'épidémie concernant la Chine. En vain, car depuis lors, le journal a de nouveau joué à ce même petit jeu malsain et après la condamnation du consulat général de Chine à Sydney, il a publié un article le 23 avril déclarant que salir l'image de l'emblème national chinois était ? remarquable ? et a continué à discréditer la Chine et le peuple chinois en s'en servant. Il semble clairement que ce média a choisi de se positionner à l'opposé de l'objectivité et de l'équité.
Les faits parlent d'eux-mêmes et l'esprit de justice est enraciné dans le c?ur des hommes. La célèbre revue universitaire britannique ? Nature ? a récemment publié un éditorial intitulé ? Stop à la stigmatisation du nouveau coronavirus ? sur trois plate-formes en chinois et en anglais. L'article a indiqué que lorsque l'OMS a proposé la dénomination officielle de la pneumonie à nouveau coronavirus en février, elle a envoyé un rappel aux personnes et aux organisations qui avaient assovié par erreur le nouveau coronavirus à Wuhan et à la Chine, y compris ? Nature ?. La revue ? Nature ? a ensuite solennellement écrit dans son article : ? Notre approche initiale était en effet erronée, nous sommes prêts à prendre nos responsabilités et à nous excuser ?. Par rapport à l'attitude responsable du magazine ? Nature ? qui a clarifié son erreur en temps opportun, le ? Daily Telegraph ? s'est montré particulièrement étroit et sombre d'esprit.
Les remarques racistes sur le nouveau coronavirus, ainsi que la discrimination raciale, les contradictions raciales et les conflits raciaux qui en résultent, sont toutes des provocations flagrantes contre la civilisation moderne. La communauté internationale doit résister avec fermeté à ce type de provocations. Tous les médias responsables dans le monde devraient choisir fermement la justice et protéger conjointement les valeurs fondamentales de la civilisation humaine.
(Par Zhong Sheng, Zhong Sheng est un pseudonyme souvent utilisé par le Quotidien du Peuple pour exprimer son point de vue sur la politique étrangère)