Dernière mise à jour à 10h08 le 12/03
Le président du Comité international olympique (CIO) Thomas Bach a déclaré jeudi que la Chine fournirait des vaccins supplémentaires aux participants des Jeux olympiques et paralympiques (JO) de Tokyo et à ceux des JO d'hiver de Beijing.
TOKYO, 11 mars (Xinhua) -- Le président du Comité international olympique (CIO) Thomas Bach a déclaré jeudi que la Chine fournirait des vaccins supplémentaires aux participants des Jeux olympiques et paralympiques (JO) de Tokyo et à ceux des JO d'hiver de Beijing.
Lors de la 173e session du CIO organisée par visioconférence à Lausanne, M. Bach a indiqué : " Le CIO a re?u une sorte d'offre du Comité olympique chinois, l'h?te des Jeux olympiques d'hiver 2022. Cette offre consiste à rendre ces doses supplémentaires disponibles pour les participants des deux éditions des Jeux olympiques de 2020 et 2022".
Il a précisé que les doses de vaccins chinois seront disponibles de deux différentes manières, en collaboration avec les partenaires internationaux ou directement envoyées aux pays et régions où des accords sont en place sur les vaccins chinois.
M. Bach a salué cette "étape majeure" pour garantir la tenue des JO en toute sécurité. "Nous sommes reconnaissants pour cette offre, qui s'inscrit dans le plus pur esprit olympique de solidarité", a-t-il souligné.
Le président du CIO a ajouté que celui-ci paierait les doses supplémentaires pour les équipes olympiques ainsi que pour les équipes paralympiques.
Il a expliqué que pour chacune des doses supplémentaires proposées aux équipes olympiques et paralympiques, le CIO paiera deux autres doses qui seront mises à disposition des peuples des pays et régions concernés en fonction de leurs besoins.
"Ces initiatives constituent une nouvelle étape majeure pour s'assurer de la tenue des Jeux olympiques et paralympiques de Tokyo en toute sécurité", a souligné M. Bach.
Il a assuré que le CIO soutenait fermement la distribution équitable des vaccins entre tous les pays et régions du monde puisqu'il a lui aussi signé la déclaration initiée par l'Organisation mondiale de la santé à ce sujet.