?Trouver un endroit dans le système solaire interne, où certains de ces mêmes ingrédients qui ont conduit à la vie sur Terre sont préservés, pour nous, c'est vraiment excitant?, à Confié David Paige.
Messenger, qui étudie la surface de Mercure, le programme Space Environment, Geochemistry and Ranging, achèvera sa mission de deux ans sur Mercure en mars prochain.
Les scientifiques sont à la recherche de financements pour poursuivre ces activités pendant au moins une partie de la troisième année. La sonde restera en orbite de Mercure jusqu'à ce que la gravité de la planète provoque finalement que celle-ci ne s'écrase sur la surface.
Reste à savoir, si la découverte de composés organiques invite maintenant la NASA à sélectionner une zone de collision plut?t que de s'en remettre à la chance reste à voir. Les microbes qui peuvent avoir été arrimés sur MESSENGER ont probablement été tués par l'environnement radiatif important sur Mercure.
La recherche est publiée dans l'édition de cette semaine de la revue Science.