Dernière mise à jour à 10h10 le 25/05
Du 19 au 21 mai, le Groupe des Sept (G7), dirigé par les états-Unis, a tenu un sommet à Hiroshima, au Japon, et a publié des déclarations conjointes et d'autres documents, mettant en avant les questions liées à la Chine et utilisant la soi-disant ? coercition économique ? pour faire allusion à la Chine.
Lors de ce sommet, le G7 a inclus la ? sécurité économique ? dans sa déclaration annexe, mettant l'accent sur la lutte contre la ? coercition économique ?. Selon la déclaration, le G7 ? combattra la coercition économique ? et ? protégera les technologies de pointe qui pourraient être utilisées pour menacer la sécurité nationale sans restrictions excessives sur le commerce et l'investissement ?.
(Auteur du dessin : Ma Hongliang)
La soi-disant ? sécurité économique ? fait en fait référence la mobilisation par les états-Unis d’alliés pour créer des ? petits cercles ? exclusifs au nom de la ? coercition économique ? opposée, perturbant la sécurité et la stabilité des cha?nes industrielles et d'approvisionnement mondiales. En fait, les états-Unis sont la source et l'intégrateur de la ? coercition économique ?. Depuis longtemps déjà, les états-Unis mettent vigoureusement en ?uvre des sanctions unilatérales, appliquent une ? juridiction au bras long ? et pratiquent ? le découplage et la rupture de cha?ne ? en prenant comme prétexte la sécurité nationale. Selon les statistiques, plus de 3 900 sanctions ont été mises en ?uvre sous le précédent gouvernement américain. Au cours de l'exercice 2021, le nombre d'entités et d'individus sanctionnés par les états-Unis a atteint pas moins de 9 421, soit une augmentation de 933% par rapport à l'exercice 2000. Est-ce pour leur soi-disant ? sécurité ? ou pour des raisons d'hégémonie ? La réponse semble évidente.
(Par Chen Zi)