美丽人妻无套中出中文字幕,亚洲图欧洲图自拍另类高清,免费一级欧美片片线观看,亚洲图片自偷欧美激情

Flash :

Un Marocain nommé expert auprès de la Cour pénale internationale enmatière de cybercriminalité Centrafrique : Sangaris et MISCA défiées par les anti-Balakas à Bossangoa, besoin d'aide humanitaire pour 50.000 déplacés (PAPIER GENERAL) Des dirigeants syndicaux enlevés à l'approche du référendum constitutionnel en Egypte Madagascar : mise en place des Officiers de Police Judiciaires de l'Elevage La Chine crée sa première école du commerce du thé Une frégate chinoise débute une mission d'escorte pour le transport d'armes chimiques syriennes Séoul essaiera de renvoyer les dépouilles des volontaires chinois de la Guerre de Corée d'ici avril La Chine qualifie d'"irraisonnables" les propos d'un diplomate japonais Rencontre entre un vice-Premier ministre chinois et le président de la BAD Miss Venezuela 2004 et son mari retrouvés assassinés La Chine refuse d'entendre les explications d'Abe sur sa visite au sanctuaire Yasukuni La Bolivie salue les liens avec la Chine et la Russie et déplore un "manque de confiance" avec Washington La Chine exhorte les Etats-Unis à protéger la sécurité de ses institutions diplomatiques La Chine espère que toutes les parties au Cambodge exprimeront leur demande par des moyens légaux après les heurts sanglants L'armée chinoise s'engage à limiter ses dépenses Le sommet de Comesa se tiendra fin février à Kinshasa Tunisie-UE : réhabilitation des principaux aéroports en prévision de l'Open Sky L'insécurité entrave les efforts de l'ONU auprès de 2,2 millions de déplacés en RCA Nigeria : 6 personnes tuées dans une attaque dans l'Etat de Plateau Six morts et cinq blessés dans une attaque dans le nord du Kenya

Beijing  Très nuageux~Ensoleillé  0℃~-9℃  City Forecast
Français>>Afrique

Centrafrique : Sangaris et MISCA défiées par les anti-Balakas à Bossangoa, besoin d'aide humanitaire pour 50.000 déplacés (PAPIER GENERAL)

( Xinhua )

08.01.2014 à 13h49

Plusieurs mois après, la ville de Bossangoa dans le Nord de la Centrafrique secouée par une vague de violences en 2013 ayant causé le déplacement d'environ 50.000 personnes à l'évêché, chrétiens et musulmans confondus, est aussi loin que la capitale Bangui d'avoir retrouvé la sécurité, malgré la présence de troupes fran?aises et africaines, selon une source religieuse.

Suite à la faillite des services administratifs, la ville natale de l'ancien président Fran?ois Bozizé continue de subir, après les ex-rebelles de la Séléka (au pouvoir), la terreur des miliciens anti-Balakas (anti-machettes), du nom de ces fameux groupes d'autodéfense villageois créés à l'origine pour combattre les coupeurs de route et qui ont sorti leurs armes de fabrication artisanales et amulettes pour se venger des exactions des nouveaux ma?tres de Bangui.

Evêque du diocèse de Bossangoa, Mgr. Nestor Désiré Nongo Aziadia parle d'un ? drame difficile à gérer ?. Pour pouvoir échapper aux violences où ? des maisons continuent d'être incendiées à longueur de journée ?, quelque 42.000 personnes, des chrétiens, se sont refugiées à l'évêché. ? Sur un deuxième site qui abrite la communauté musulmane, il y a environ 8.000 personnes ?, informe l'homme d'Eglise.

Les statistiques officielles estiment à 50.000 habitants la population de cette ville. En d'autres termes, Bossangoa s'est quasiment vidée de toute sa population. ? Certains habitants sont allés se réfugier à Bangui. Tous les fonctionnaires se sont retirés ?, a rapporté dans un entretien téléphonique mardi à Xinhua Mgr. Nongo Aziadia.

Conséquence : ? Je joue au préfet, au sous-préfet, au maire, au commandant de la brigade de gendarmerie, etc. Je porte toutes ces casquettes en ce moment, face à la faillite des autorités. Il n'y a plus d'autorités administratives, judiciaires et militaires. Ce n'est pas une mince affaire ?, déplore ce responsable de l' Eglise catholique.

Avec Bouca, Bouar et quelque peu Bossembélé, Bossangoa est l' un des symboles de l'opposition au pouvoir de Michel Djotodia illustrée par les miliciens anti-Balakas qu'on dit être soutenus par d'anciens soldats des Forces armées centrafricaines (FACA) fidèles à Bozizé. Les représailles contre les ex-rebelles de la Séléka ont plongé la population dans le désarroi.

Selon des sources concordantes, beaucoup de personnes se cachent en brousse par peur d'être tuées. Comme l'archevêque de Bangui, Mgr. Dieudonné Nzapalainga, qui avait tenté une mission de médiation et de réconciliation en septembre dans la région, Mgr. Nongo Aziadia est formel : ? La situation est tendue. Il y a des groupes d'individus, aussi bien les Séléka que les anti-Balakas, qui profitent de la crise pour se livrer à des pillages ?.

Le déploiement d'une centaine de soldats fran?ais de l' opération Sangaris, à peu près le même nombre que le contingent congolais de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique (MISCA), une force africaine ayant pris le relais de la Force multinationale de l'Afrique centrale (FOMAC), n'a pas permis de rétablir et la sécurité dans la ville et ses environs.

? C'est difficile. Le problème réside dans le fait qu'une opération militaire est différente d'une opération policière. Si un militaire tombe sur un gar?on de 15 ans qui est en train de br?ler une maison, va-t-il lui tirer dessus ? C'est la police et la gendarmerie qui doivent jouer dans ce cas ?, observe Mgr. Nongo Aziadia.

La vérité est que ce qui reste de la police et de la gendarmerie centrafricaines aujourd'hui après la débande générale créée par la chute du régime de Fran?ois Bozizé en mars, souffre d' un manque de moyens d'intervention. Officiellement dissoute, l'ex-coalition Séléka contr?le le jeu pour la conservation du pouvoir incarné par son leader Michel Djotodia.

Mgr. Nongo Aziadia se veut tout de même optimiste. ? Par la grace de Dieu, on va s'en sortir. C'est vrai, ?a va prendre du temps, mais il faut rester optimiste. Autrement, on va tous mourir ?. Mais il reconna?t que la tache est ardue, car, ? tout le monde attend que les autres fassent le travail à notre place. Les chefs traditionnels n'ont plus d'autorité sur leurs populations, les parents non plus sur leurs enfants ?.

Pour cette normalisation souhaitée, il plaide un dialogue avec les anti-Balakas dont il dit qu'ils ? combattent les exactions tout comme les Séléka le faisaient. C'est une population qu'il faut rencontrer et sensibiliser pour qu'elle adopte un comportement citoyen ?.

Pour le pouvoir en place à Bangui, c'est le noeud gordien de la situation actuelle d'aggravation de la crise consécutive à l' offensive déclenchée contre le régime Bozizé en décembre 2012.

? Je ne peux nier qu'il y a eu des exactions commises par la Séléka. Je reconnais qu'il y a eu des pillages, des assassinats et des enlèvements. Personnellement, j'ai condamné et lutté contre cela ?, avoue cependant le colonel Christian Narkoyo, ex-porte- parole militaire de la Séléka aujourd'hui commandant de la gendarmerie mobile.

? Même si les chefs ne sont pas coupables, ces crimes commis par leurs éléments vont leur tomber dessus. Il y a certains chefs qui sont coupables ?, précise l'ex-chef de guerre.

Articles recommandés:

Zhang Yimou présente ses excuses

Le Google Center de Zurich : un site féerique

L'art du papier découpé : l'Année du cheval

La sortie d'une télévision ultra HD de 110 pouces

Les stars posent avec elles-mêmes

Le plus grand feu d'artifice du nouvel an

Le culte du ? nazisme oriental ?, un retour accéléré en arrière

Ouverture du Jingyue Snow World à Changchun dans le Jilin

Découverte d'un exemple de reproduction florale dans un fragment d'ambre

  • Nom d'utilisateur
  • Anonyme

Sélection de la rédaction

Les Articles les plus lus |Sondage

Pages spéciales