Le concours oratoire en langue chinoise intitulé "Mon rêve chinois" s'est conclu dimanche dans la capitale afghane de Kaboul, marquant la fin du premier événement du genre dans la nation déchirée par la guerre.
Organisé conjointement par l'ambassade chinoise et l'Institut Confucius local, le concours oratoire chinois a attiré plus de 40 Afghans apprenant le chinois. Sept d'entre eux, dont deux femmes, se sont rendus en finale.
S'adressant aux participants, l'ambassadeur de Chine en Afghanistan Deng Xijun s'est déclaré enchanté de voir de plus en plus de jeunes afghans apprendre la langue et la culture chinoises. Il a ajouté que le gouvernement chinois est prêt à fournir plus d'aide relative à l'enseignement et à l'apprentissage du chinois dans le pays.
M. Deng a expliqué que le "Rêve chinois" ne constitue pas simplement la quête d'un soulèvement national et d'une qualité de vie meilleure, mais est également connecté à l'aspiration à la paix, la stabilité et la prospérité du peuple afghan.
Zhao Jingwu, directeur de l'Institut Confucius à l'Université de Kaboul, a confié à Xinhua que ce concours visait à promouvoir la langue et la culture chinoises au sein des étudiants afghans, et susciter l'enthousiasme face à l'apprentissage du chinois.
Najibullah Adina et Mohammad Mahdi Anwari, deux étudiants effectuant un majeur en chinois à l'Université de Kaboul, ont remporté les prix les plus prestigieux.
Najibullah a affirmé à Xinhua que son "Rêve chinois" est d'aller étudier en Chine et de construire un pont entre les peuples.