Dernière mise à jour à 09h46 le 28/09
Les Etats-Unis doivent cesser de dénigrer la Chine et de s'ingérer dans ses affaires intérieures sous le prétexte des droits de l'homme, a déclaré mercredi un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
Selon des informations, le 26 septembre, le Département de la Sécurité intérieure des Etats-Unis a annoncé qu'il avait ajouté trois entreprises basées en Chine à une liste d'entités en raison de l'application de la loi sur le "travail forcé" liée au Xinjiang.
En réponse, le porte-parole Wang Wenbin a indiqué lors d'un point de presse quotidien que la Chine avait clairement indiqué à maintes reprises que l'allégation de "travail forcé" au Xinjiang n'était rien d'autre qu'un énorme mensonge propagé par des personnes hostiles à la Chine afin de salir l'image du pays.
"C'est exactement le contraire du fait que les droits et les intérêts de toutes les ethnies au Xinjiang sont effectivement protégés", a-t-il souligné.
Il a indiqué que les Etats-Unis utilisaient ce mensonge comme base pour appliquer la prétendue "loi sur la prévention du travail forcé des Ou?gours", inscrire des entités chinoises sur une liste noire et s'attaquer à davantage d'entreprises chinoises.
Cette démarche vise en réalité à miner la prospérité et la stabilité du Xinjiang, à contenir le développement de la Chine, et elle porte également atteinte aux règles du commerce international et à l'ordre du marché, a-t-il ajouté.
"Nous exhortons les Etats-Unis à cesser immédiatement de salir la réputation de la Chine et de s'ingérer dans ses affaires intérieures sous prétexte des droits de l'homme. Nous continuerons à défendre résolument les droits et les intérêts légitimes et légaux des entreprises chinoises", a déclaré M. Wang.