L'immobilier a fait, sans aucun doute, les manchettes des journaux chinois au cours du printemps de 2013. Le marché immobilier de Shanghai, qui est resté stagnant pendant l'année passée, a connu un essor en terme de nombre de transactions en mars 2013, tandis que le prix moyen des logements à Beijing, la capitale, a dépassé celui de Shanghai de 27 yuans, devenant le véritable ? roi de l'immobilier ?.
En Chine, les logements sont déjà inabordables pour les familles ordinaires. Cela est très mauvais pour le développement stable de l'économie du pays, a indiqué Cui Xinsheng, ajoutant qu'une telle croissance des prix finirait par une stagnation des transactions immobilières, entra?nant l'effondrement du marché immobilier.
Récemment, un économiste indépendant a déclaré lors d'une interview que ? les prix de l'immobilier chinois ne sont pas élevés pour enrichir les riches, mais pour assurer un logement aux pauvres. ? Dès qu'elle a été publiée, cette remarque a suscité de fortes protestations dans l'opinion publique.
Li Keqiang insiste sur la prospective lors dans la planification des politiques économiques
La Chine "ma?trisera" avec fermeté la spéculation immobilière
Les Chinois se tournent vers l'étranger pour leurs nouveaux logements
Au sud du pays, à Guangzhou, le prix progresse à un taux de croissance de 10%. Dans des petites villes de troisième rang, auxquelles on accorde moins d'attention, les prix ont également brisé des records dès le début de cette année.