L'ex-garde des sceaux fran?aise Rachida Dati est à nouveau dans la tourmente médiatique. La dernière fois, c'était en raison de son refus de révéler l'identité de sa fille illégitime. Mais cette fois, c'est pour son action de faire appel à la justice pour obtenir la reconnaissance de paternité de l'un de ses anciens amants.
Selon le Point.fr, l'ancienne ministre de la Justice Rachida Dati aurait assigné, le mois dernier, devant un tribunal civil Dominique Desseigne, le PDG du groupe de casinos et d'h?tels Lucien Barrière pour ? reconnaissance de parternité ? de sa fille Zohra agée de trois ans et demi.
Mais M. Desseigne a refusé à faire le test ADN et a admis qu'il n'a aucune idée quant à l'identité du père de l'enfant. "Je ne lacherai rien. Parce que j'ai été correct et que je n'ai rien à me reprocher", a-t-il expliqué ce week-end dans une interview accordée au Monde. De plus, pour contrecarrer la demande de Rachida Dati, l'avocate de l' homme d'affaires de 68 ans a rendu public le fait que l'ancienne garde des Sceaux, peu avant sa grossesse, aurait entretenu diverses liaisons avec huit hommes, dont un animateur télé, un ministre fran?ais, un PDG, un Premier ministre espagnol, l'un des frères de Nicolas Sarkozy, un procureur général qatari et l'héritier d'un empire de luxe.
L'avocat de Rachida Dati a refusé de faire des commentaires sur de telles aventures amoureuses. Et dans un communiqué, l'euro-députée a démenti l'assignation en justice et a appelé les journalistes et les médias à respecter sa famille.
L'ancien chef du gouvernement espagnol, José Maria Aznar, impliqué dans cette affaire, par un communiqué officiel, avait refuté être le père de la petite Zohra. Et aujourd'hui, l'identité du père de l'enfant reste toujours un mystère.