Dernière mise à jour à 18h32 le 14/08
Le 13 ao?t au soir, à l'aéroport de Hong Kong, Fu Guohao, un journaliste envoyé par le Global Times, a été illégalement séquestré et battu par des manifestants. Devant les poings des voyous, il a crié : ? Je soutiens la police de Hong Kong, allez-y, vous pouvez me frapper ?.
Le 14 ao?t vers 0h20, heure de Beijing, les forces de police de Hong Kong l'ont sauvé. Lors de son évacuation, Fu Guohao avait la tête couverte de sang. Quand il a été sorti de l'aéroport, il a dit sur une civière : ? J'aime Hong Kong, merci, merci ?.
(Photo: capture d'écran d'une vidéo de Global Times)
La police de Hong Kong condamne les violences commises à l'aéroport et arrête cinq personnes
La police de Hong Kong a annoncé le 14 ao?t à 3h25 du matin qu'un grand nombre de manifestants s'étaient rassemblés illégalement à l'aéroport international de Hong Kong du 13 au soir au matin du 14 ao?t au matin, et avaient séquestré, insulté et agressé un passager et un journaliste, leur causant un grave préjudice physique et mental. La police a fermement condamné la grave violence de ces manifestants radicaux.
Lors de l'incident, la police a arrêté cinq hommes soup?onnés de rassemblement illégal, de possession d'armes offensives, d'attaques contre la police et de destruction de la paix sociale. Deux policiers au total ont été blessés et envoyés à l'h?pital de North Lantau pour y être soignés.
Le gouvernement de la RASHK exprime sa condamnation la plus sévère
Dans les premières heures de la matinée du 14 ao?t, le porte-parole du gouvernement de la région administrative spéciale chinoise de Hong Kong (RASHK) a réagi aux violences à l'aéroport international de Hong Kong de la soirée du 13 ao?t, affirmant qu'un grand nombre de manifestants s'étaient rassemblés à l'aéroport depuis l'après-midi d'hier (le 13 ao?t), paralysant le fonctionnement de l'aéroport. et affectant gravement l'entrée et la sortie des passagers, dépassant de loin le cadre d'une manifestation pacifique. Dans la soirée, les violences se sont intensifiées, les émeutiers ont encerclé et molesté un passager et un journaliste et ont empêché le personnel des ambulances d'amener le passager à l'h?pital. Lorsque la police est venue gérer l'incident, plusieurs émeutiers ont attaqué des policiers, mena?ant gravement leur sécurité personnelle.
Ces actes de violence dépassent de loin les règles de base d'une société civilisée et sont répréhensibles. Le gouvernement de la RASHK les condamne avec la plus extrême sévérité. La police va désormais suivre l'affaire avec rigueur et traduira les personnes impliquées devant la justice.