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La Chine réfute un soi-disant rapport sur le piment du Xinjiang
Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a déclaré vendredi qu'une poignée de médias occidentaux et de fabricants de désinformation de longue date avaient concocté mensonge après mensonge au sujet du Xinjiang, ajoutant toutefois que ce qui était inventé ne cacherait pas la vérité et qu'un mensonge restait un mensonge, même s'il était répété mille fois.
Le porte-parole Lin Jian a fait ces remarques lors d'un point de presse quotidien, alors qu'il était invité à commenter cette question.
Certains articles de médias occidentaux ont cité un rapport d'Adrian Zenz, un universitaire hostile à la Chine, affirmant que les produits à base de piment vendus dans les supermarchés britanniques et américains contenaient des ingrédients provenant du Xinjiang, lesquels étaient probablement issus d'un "travail forcé".
Notant que ce soi-disant rapport mentionné par certains médias était profondément faussé, M. Lin a déclaré qu'il citait prétentieusement quelques vagues récits de soi-disant témoins anonymes, mais qu'il ne fournissait aucune base factuelle et était dénué d'une enquête de terrain la plus élémentaire.
"Le fait est que le processus de culture des piments au Xinjiang est déjà largement mécanisé. Dans certaines grandes zones de production, 100% des piments sont désormais récoltés par des machines. Le rapport suggère-t-il qu'il y a un travail forcé à la machine ?" s'est interrogé M. Lin.
Le porte-parole a noté qu'en début de semaine, un symposium international sur l'emploi et la sécurité sociale s'était tenu à Urumqi. Plus de 200 participants d'une quarantaine de pays, régions et organisations internationales ont assisté à l'événement, et beaucoup ont déclaré que le Xinjiang qu'ils avaient vu était très différent de la propagande mensongère dépeinte dans les sources extérieures à la Chine. Ils ont condamné le discours sur le 'travail forcé', le qualifiant de mensonge privant les habitants du Xinjiang de leur droit au travail, à la subsistance et au développement", a déclaré M. Lin.
Du coton à la tomate, en passant maintenant par le piment, une poignée de médias occidentaux et de fabricants de désinformation de longue date ont concocté mensonge après mensonge sur le Xinjiang, a déclaré M. Lin, ajoutant que ce qui était inventé ne cacherait pas la vérité et qu'un mensonge restait un mensonge, même s'il était répété mille fois.
"Il est grand temps que ceux qui sont derrière ces mises en scène maladroites abandonnent définitivement cette activité 'créative'", a indiqué M. Lin.
